Relaxe du vigneron bio qui ne voulait pas traiter ses vignes
Son cas avait ébranlé le monde du vin et, une nouvelle fois, interrogé l'usage des pesticides en agriculture. Emmanuel Giboulot, le viticulteur bio de Côte-d'Or, condamné en avril à une amende pour avoir refusé de traiter ses vignes contre la maladie de la flavescence dorée, a finalement été relaxé par la cour d'appel de Dijon, jeudi 4 décembre. La même peine qu'en première instance – 1 000 euros dont la moitié avec sursis – avait pourtant été requise début novembre.