Ce viticulteur a tout quitté pour dénoncer le scandale des insecticides
Fruit d’une enquête de plus de deux ans, le documentaire « Insecticide mon amour » a été réalisé par un ouvrier viticole de Saône-et-Loire qui, non content d’avoir été contraint de pulvériser des insecticides sur ses vignes saines, a décidé de quitter son travail pour comprendre d’où venait le problème…
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Insecticide Mon Amour
Insecticide Mon Amour
Une enquête de plus de 2 ans autour du problème des traitements obligatoires aux insecticides contre la flavescence dorée dans le vignoble bourguignon.
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Insecticide mon amour : une bombe
Insecticide Mon Amour dans Vin Bio Magazine
Guillaume Bodin, après La Clef des terroirs, signe à nouveau un brillant et touchant documentaire, ancré dans l’actualité : Insecticide mon amour.
Au-delà de sa portée informative, ce film a une mission salubre ; l’auteur tire ici la sonnette d’alarme à propos d’un sujet qui, même s’il est en vogue en ce moment, n’en devient pas moins de plus en plus alarmant : le danger des pesticides.
Les pesticides ont le vin mauvais
Remerciements
Zéro Phyto 100% Bio
Le documentaire des cantines bioet des villes sans pesticides.
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« Insecticide mon amour » : le plaidoyer d’un ouvrier viticole contre les pesticides
Il se décrit comme un amoureux de la nature. Ouvrier viticole, Guillaume Bodin a décidé de quitter son travail en 2013. La raison ? Un arrêté préfectoral de Saône-et-Loirequi impose à tous les viticulteurs un traitement préventif à base d’insecticidescontre une maladie de la vigne, la flavescence dorée. Les symptômes inquiétants provoqués par ces épandages à répétitions l’ont poussé à prendre la caméra, pour comprendre les ressorts de ces décisions administratives, mais aussi les impacts des insecticides sur la santé et l’environnement. Par ce documentaire, le jeune réalisateur espère ouvrir d’autres voies pour l’agriculture, face au tout chimique.
« Insecticide mon amour » ou la lutte contre la flavescence dorée
Info-chalon.com est allé à la rencontre du réalisateur
« Insecticide mon amour ». C’est le nom du documentaire réalisé par Guillaume Bodin, 28 ans, ancien ouvrier viticole en Saône-et-Loire. Au moment des premiers traitements obligatoires par arrêté préfectoral, contre la flavescence dorée en 2013, il était au cœur des vignes et a voulu en savoir plus. Un film aux accents militants mais qui pose de pertinentes questions. Cinquante-deux minutes documentées, qui ne manqueront pas d’intéresser les Saône-et-Loiriens. Et de relancer le débat.
« Insecticide mon amour », le film qui atomise les pesticides
Guillaume Bodin a 28 ans et deux films à son actif : le premier, « La Clef des terroirs » (2011), célébrait la biodynamie et celles et ceux qui la pratiquent. Son deuxième film, « Insecticide mon amour », s’attaque au flanc opposé de la montagne en dénonçant, témoignages et documents à l’appui, la dangerosité des pesticides, leur réduction en trompe-l’œil – celle-là même que nous promettent les politiques – et l’usage préventif parfois dévastateur qui en est fait.