Remerciements
Soirée "Insecticide Mon Amour" au Ciné Novel
Thibault Liger Belair, Moulin à Vent
Un deuxième vigneron bio poursuivi en justice pour avoir refusé de polluer
Bis repetita. Après « l’affaire Emmanuel Giboulot » – un vigneron poursuivi en justice pour avoir refusé de traiter son vignoble avec un insecticide – un autre vigneron bio, Thibault Liger-Belair, est convoqué au tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône (Rhône) le 19 mai prochain. Son délit ? « Refus d’effectuer les mesures de protection des végétaux contre les organismes nuisibles en l’espèce : lutte insecticide contre le vecteur de la flavescence dorée », selon la convocation consultée par Basta !.
Zéro Phyto 100% Bio
Le documentaire des cantines bioet des villes sans pesticides.
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« Insecticide mon amour » : le plaidoyer d’un ouvrier viticole contre les pesticides
Il se décrit comme un amoureux de la nature. Ouvrier viticole, Guillaume Bodin a décidé de quitter son travail en 2013. La raison ? Un arrêté préfectoral de Saône-et-Loirequi impose à tous les viticulteurs un traitement préventif à base d’insecticidescontre une maladie de la vigne, la flavescence dorée. Les symptômes inquiétants provoqués par ces épandages à répétitions l’ont poussé à prendre la caméra, pour comprendre les ressorts de ces décisions administratives, mais aussi les impacts des insecticides sur la santé et l’environnement. Par ce documentaire, le jeune réalisateur espère ouvrir d’autres voies pour l’agriculture, face au tout chimique.
« Insecticide mon amour » ou la lutte contre la flavescence dorée
Info-chalon.com est allé à la rencontre du réalisateur
« Insecticide mon amour ». C’est le nom du documentaire réalisé par Guillaume Bodin, 28 ans, ancien ouvrier viticole en Saône-et-Loire. Au moment des premiers traitements obligatoires par arrêté préfectoral, contre la flavescence dorée en 2013, il était au cœur des vignes et a voulu en savoir plus. Un film aux accents militants mais qui pose de pertinentes questions. Cinquante-deux minutes documentées, qui ne manqueront pas d’intéresser les Saône-et-Loiriens. Et de relancer le débat.
« Insecticide mon amour », le film qui atomise les pesticides
Guillaume Bodin a 28 ans et deux films à son actif : le premier, « La Clef des terroirs » (2011), célébrait la biodynamie et celles et ceux qui la pratiquent. Son deuxième film, « Insecticide mon amour », s’attaque au flanc opposé de la montagne en dénonçant, témoignages et documents à l’appui, la dangerosité des pesticides, leur réduction en trompe-l’œil – celle-là même que nous promettent les politiques – et l’usage préventif parfois dévastateur qui en est fait.