Pesticides : « rien n’a changé en 50 ans »
Bien que des reportages, spécialistes et scientifiques informent depuis plus de 50 ans sur les risques induits des pesticides, que ce soit sur la santé ou dans l’environnement, le changement est particulièrement lent sur le terrain. Malgré tout, de nombreuses personnes continuent à se battre pour que ces risques soient limités, comme Guillaume Bodin qui entame une tournée au cinéma avec son documentaire « Insecticide Mon Amour » afin d’informer sur le terrain des pratiques de l’agro-industrie.
«C’est peut-être mon côté militant» - Portrait Pro Natura
« Insecticide mon amour », un film militant
Quand tu plantes de la vigne bio... Tu récoltes des prunes..
Pesticides : Du poison par arrêté préfectoral
Insecticide Mon Amour dans Vin Bio Magazine
Guillaume Bodin, après La Clef des terroirs, signe à nouveau un brillant et touchant documentaire, ancré dans l’actualité : Insecticide mon amour.
Au-delà de sa portée informative, ce film a une mission salubre ; l’auteur tire ici la sonnette d’alarme à propos d’un sujet qui, même s’il est en vogue en ce moment, n’en devient pas moins de plus en plus alarmant : le danger des pesticides.
Flavescence dorée : faut-il imposer une discipline qui s’applique à tous les viticulteurs ?
Un nouveau vigneron bio poursuivi pour refus de traitements insecticides
VIDEO. Un nouveau vigneron bio poursuivi pour refus de traitements insecticides
Pour avoir refusé de traiter préventivement ses vignes contre la flavescence dorée à Moulin-à-Vent, dans le Beaujolais, un viticulteur doit comparaître devant le tribunal de Villefranche-sur-Saône (Rhône). Pour les mêmes faits, un de ses confrères avait été relaxé, en appel, à Dijon (Côte-d'Or) en décembre 2014.
Un deuxième vigneron bio poursuivi en justice pour avoir refusé de polluer
Bis repetita. Après « l’affaire Emmanuel Giboulot » – un vigneron poursuivi en justice pour avoir refusé de traiter son vignoble avec un insecticide – un autre vigneron bio, Thibault Liger-Belair, est convoqué au tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône (Rhône) le 19 mai prochain. Son délit ? « Refus d’effectuer les mesures de protection des végétaux contre les organismes nuisibles en l’espèce : lutte insecticide contre le vecteur de la flavescence dorée », selon la convocation consultée par Basta !.
Les pesticides ont le vin mauvais
« Insecticide mon amour » : le plaidoyer d’un ouvrier viticole contre les pesticides
Il se décrit comme un amoureux de la nature. Ouvrier viticole, Guillaume Bodin a décidé de quitter son travail en 2013. La raison ? Un arrêté préfectoral de Saône-et-Loire qui impose à tous les viticulteurs un traitement préventif à base d’insecticides contre une maladie de la vigne, la flavescence dorée. Les symptômes inquiétants provoqués par ces épandages à répétitions l’ont poussé à prendre la caméra, pour comprendre les ressorts de ces décisions administratives, mais aussi les impacts des insecticides sur la santé et l’environnement. Par ce documentaire, le jeune réalisateur espère ouvrir d’autres voies pour l’agriculture, face au tout chimique.
Insecticide mon amour : une bombe
« Insecticide mon amour » ou la lutte contre la flavescence dorée
Info-chalon.com est allé à la rencontre du réalisateur
« Insecticide mon amour ». C’est le nom du documentaire réalisé par Guillaume Bodin, 28 ans, ancien ouvrier viticole en Saône-et-Loire. Au moment des premiers traitements obligatoires par arrêté préfectoral, contre la flavescence dorée en 2013, il était au cœur des vignes et a voulu en savoir plus. Un film aux accents militants mais qui pose de pertinentes questions. Cinquante-deux minutes documentées, qui ne manqueront pas d’intéresser les Saône-et-Loiriens. Et de relancer le débat.
Ce viticulteur a tout quitté pour dénoncer le scandale des insecticides
Fruit d’une enquête de plus de deux ans, le documentaire « Insecticide mon amour » a été réalisé par un ouvrier viticole de Saône-et-Loire qui, non content d’avoir été contraint de pulvériser des insecticides sur ses vignes saines, a décidé de quitter son travail pour comprendre d’où venait le problème…
« Insecticide mon amour », le film qui atomise les pesticides
Guillaume Bodin a 28 ans et deux films à son actif : le premier, « La Clef des terroirs » (2011), célébrait la biodynamie et celles et ceux qui la pratiquent. Son deuxième film, « Insecticide mon amour », s’attaque au flanc opposé de la montagne en dénonçant, témoignages et documents à l’appui, la dangerosité des pesticides, leur réduction en trompe-l’œil – celle-là même que nous promettent les politiques – et l’usage préventif parfois dévastateur qui en est fait.
Après « La clef des terroirs », le nouveau film de Guillaume Bodin
Interview sur Radio Fréquence Jura
C’est lors de la projection de «La Clef des Terroirs» dans le Jura Suisse pendant le mois du film documentaire que Jean-Michel Probst a interviewé Guillaume Bodin au cinéma le Colisé de Porrentruy.
Guillaume Bodin tourne un film
Le vin en biodynamie
Un article sur "La Clef des Terroirs" dans le guide des Points Culture Belges: "Le Zeste qui Compte".
En biodynamie, les exploitations agricoles sont considérées comme des systèmes vivants au sein desquelles on s'efforce de préserver l'équilibre des forces pour renforcer la vie organique du sol. Ce dernier fait donc l'objet d'une attention particulière et est enrichi ponctuellement par des préparations spécifiques qui excluent les produits de synthèse (bouse de corne, compost, ect.).